Critiques littéraires du 3en1

Yep clair miniduf

mais le maxi caca

Ds

Le

Slip

non la couche

Il va montrer a son pere

Ouais j'ai honte de ne pas avoir fait ma critique... J'ai même pas fini mon bouquin...
Je pense que le fist fucking c'est une punition trop douce...

Tu te le feras quand même, on trouveras quelquechose en plus si tu veux, un gant clouté.

Ouch...

Une goute d'acide sulfurique de le trou de ta bite

Ouais, il faut sanctionner la! Duf, tu vas être papa, il faut montrer ton autorité !!

C clair il va se faire bouffer le gamin

Wouh!!!!!!

Rrrrrrroulement de tambooouurrrrrrrrssssss. Je vous annonce.... MA critique littéraire!!! Baaaaaaam!

Pourrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr bientôôôôôôôôôôôôôôôôôt!!!!!!

Bon ok. J'ai fait un bide avec ce suspens de merde...

Complètement.

Dur...

On attend du concret, pas un teasing man!

Hmmmmmm.... Alors baaaaaam! La v'là ma tique-cri!
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Imaginez la nature. Imaginez les arbres, la forêt, les éléments qui composent notre planète, notre monde, notre univers... Imaginez l'homme. Pardon. L'Homme. Une incroyable machine qu'on essaye d'explorer et qui révèle peu à peu ses mystères, tout comme la nature d'ailleurs. Des énigmes en science, il y en a des milliers ; des milliards ? Mais pas de panique ! Jean Claude AMEISEN est là! (et en +, il est beau gosse!cf. photo) Et on le lit, on l'écoute même (oui, sur France Inter! Mais je laisse ça aux vieux et aux binoclars) Sur les épaules de Darwin est une émission compilée dans différents tomes dont « Les battements du temps ».

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Fort de ses 416 pages (et ouais les gars, je sais lire!), il enchaîne les récits de découvertes scientifiques, d'expériences et d'observations de la nature. 416 pages qui se dévorent en quelques jours, 416 pages qui sont autant de « je t'aime » à la nature et à la nature humaine (mais c'est quoi cette phrase de gros PD?!)

Mais vous allez me dire, « on s'en branle ! »... heu.. non. Plutôt : « vite Xav ! Un extrait ! ». Alors voilà un extrait qui m'a fait me dire : « bah putain ». Ecoutez plutôt.... Enfin, lisez :

« Alors qui lui baissa son froc pour enfoncer directement son doigt dans son c... »   Ah non désolé. C'est pas le bon bouquin !

« Une équipe de chercheurs a fait écouter à des personnes des morceaux de musique dans lesquels ils avaient remplacé quelques mesures de musique par des plages de silences – des interruptions silencieuses de deux à cinq secondes.

Les personnes qui ne connaissent pas le morceau le remarquent immédiatement. Mais les personnes qui connaissent et aiment ce morceau ne remarquent pas ces plages de silences.
Leur conscience remplace la musique qui manque par la séquence qui est présente dans leur souvenir.
Elles n'ont pas entendu qu'il y avait eu une interruption.
Elles ont entendu le morceau de musique dont leur mémoire et leur anticipation du plaisir à venir ont reconstruit en elles les passages effacés.

L'imagerie cérébrale indique que, chez ces personnes qui entendent la musique pendant ces plages de silence, les régions cérébrales impliquées dans l'audition sont plus actives encore que durant les passages de musique réellement joués.
[…]
Le cerveau substitue activement la musique au silence. Il reproduit la musique qui manque. Pendant les interruptions de silence d'une chanson, ce ne sont pas seulement les régions impliquées dans l'audition qui sont suractivées, mais aussi les régions du cerveau impliquées dans le déchiffrement du sens des paroles, du sens des mots.
La personne est persuadée avoir entendu la musique et les paroles – une chanson qu'aucune plage de silence n'a interrompue. »



Ce qui est fort dans ce bouquin, et qui nous rend accroc, c'est que c'est un pavé, les chapitres sont énormes, mais on ne les voit pas passer car il enchaîne tous ses récits selon un même schéma :
introduction de l'expérience par une anecdote rigolote
récit de l'expérience (très bien racontée d'ailleurs)
explication scientifique et pointilleuse (simplifiée, à portée de tous)
explication philosophique du ressenti humain (pour cette expérience, il raconte que ce que nous vivons avec la musique, c'est tout simplement la construction du souvenir faite par le cerveau. Autrement dit, quand nous vieillissons, nous ne gardons en tête que ce que notre cerveau veut bien nous laisser. (à la suite de ce passage, il évoque le fait que lorsqu'on entend le bruit d'une abeille, on la visualise mentalement sans pourtant l'avoir vu. Il parle aussi de la vision des branches d'un arbre qui « frissonne » qui provoque en nous un frisson (« nous entendons en nous le souffle du vent ») Et il enfonce le clou en racontant qu'au futuroscope, il y a un parcours qui se fait dans le noir complet et au cours duquel nous sommes aidés par un non-voyant.

« A un moment du parcours, nous entendons les cris d'oiseaux qui volent, bas, au dessus de nos têtes.
Des cris, et un coup de vent au-dessus de nos têtes.
Et j'ai vu, à ce moment-dans le noir total-la forme et les couleurs des oiseaux imaginaires qui nous frôlaient dans le noir.
Quels oiseaux ?
Je ne pourrais le dire.
Mais certaines personnes qui étaient là les ont vus aussi »

Ces explications nous font ainsi comprendre ce qui constitue la vie et le ressenti d'un non-voyant.

Après cet extrait, il enchaîne tout naturellement avec d'autres anecdotes (ou des citations de scientifiques ou autres personnages intéressants)

On pourrait aller voir un autre extrait, mais il faudrait citer tout le bouquin tellement les expériences s'enchaînent naturellement.

Ameisen réussit parfaitement à nous faire comprendre que l'Homme, en observant la nature, a su se pencher + facilement sur lui-même et à comprendre comment il se constitue (voilà pourquoi il faut respecter la nature?)

En témoignent des explications à propos de la mémoire et de l'hippocampe et du cheminement de la mémoire dans le cerveau (les choses qu'on apprend dans la vie (comme faire du vélo) ne restent pas dans la mémoire, mais s'enfouissent dans notre mémoire durable. Plus exactement, il parle de la mémoire des lieux et de la « carte de la mémoire ». Si je m'écoutais, je vous mettrai un extrait d'une vingtaine de pages... Mais restons raisonnables. Ameisen fait le récit de certains oiseaux (les geais (à ne pas confondre avec Bebert !) qui cachent des milliers de graines dans la nature, qui migrent et qui, lorsqu'ils reviennent des mois après, retrouvent ces cachettes très facilement. Il explique que les chercheurs ont remarqué que l'hippocampe de ces oiseaux était capable de grossir à l'infini (cmb!) Les chercheurs se sont demandé comment ça se passait chez les hommes. Il explique alors le cas des études sur les taxis londoniens qui ont appris 25 000 rues et des milliers d'autres sites de la ville. Résultat ? La taille de leur hippocampe (et peut-être de leur bite, qui sait) a augmenté significativement. Tout ça pour dire « qu'acquérir de la connaissance induit des changements dans la structure du cerveau. » qui induisent d'autres choses naturelles à propos de la capacité du cerveau à retenir d'autres types de données. Mais je vous laisse lire le livre pour comprendre...

ça y est, je vous vois : je suis sûr que vous avez bu vous aussi les extraits sans voir les lignes passer ! Et bien dites vous que c'est la sensation qu'on ressent tout le long du livre : on est émerveillé par la magie de la nature, et on veut apprendre, encore et encore. Et alors on devient philosophe. C'est peut-être ça la vie ?

Trop long, pas le courage de la lire.

Tsssssss. Je comprends mieux pourquoi cette rubrique est un échec?

lol, j'ai l'impression que ce livre t'a apaisé man ?

J'pense pas que je lirai ce livre mais pourquoi pas l'écouter sur France Inter en prenant ma douche!!

J'ai déjà écouté... C'est soporifique! Du coup, difficile de suivre (ou alors, faut rester concentrer sur ce qu'ils disent et ne faire que ça. C'est pas le genre de truc que tu peux suivre tout en faisant autre chose!)